Le nombre de forages. Le coût de la géothermie est fortement relié au nombre de forages et à la longueur des puits verticaux. L’ingénieur Jacques Lagacé, insiste sur la nécessité de bien évaluer les besoins énergétiques et de ne pas surdimensionner les puits de forage. Il ne se fie plus aux logiciels courants pour évaluer la capacité thermique. Pour chaque projet d'envergure il fait tester la capacité du sol par une firme spécialisée.
L’hydrogéologue Philippe Pasquier, de la firme Golder, fait se type de forage d’essai évaluant la réponse thermique du sol sur une durée de cinq jours. Il confirme que les facteurs de sécurité des logiciels augmentent souvent inutilement la longueur des puits de 20 à 30% sans apporter de bénéfice.
Cette information est importante pour les projets de grande envergure mais pour les petits projets commerciaux ou résidentiels le coût des tests équivaudrait ou dépasserait le coût des forages supplémentaires. On doit donc se fier à des longueurs standard de 150 à 175 pieds par tonne pour le roc, et davantage (200 à 250 pieds par tonne) pour les sols sablonneux ou argileux.
Le pourcentage de géothermie
Pour les projets commerciaux, institutionnels ou d'envergure, les ingénieurs J. Lagacé de la firme Bouthillette Parizeau, C. Tardif de la firme CIMA, L.-F. Gagnon de la firme BBA et Vasile Minea d'Hydro-Québec prônent de limiter la capacité nominale de la géothermie à 70% des charges de chauffage maximales des immeubles. Cette pratique vise d’abord à optimiser les coûts initiaux des systèmes géothermiques notamment en réduisa nt la longueur totale des forages verticaux. En effet, cette capacité couvre environ 85% des besoins annuels des immeubles alors que le 30% supplémentaire ne fonctionnerait que très rarement durant les semaines les plus froides pour couvrir le 15% annuel manquant. L'investissement supplémentaire serait donc beaucoup moins rentable.
En construction résidentiel, l'approche est différente. C'est principalement la charge de climatisation qui détermine la puissance de l'appareil si la climatisation est requise. Avec une capacité trop faible, il y a aussi le danger de surutiliser un puits de le refroidir, baissant ainsi sa capacité de chauffage.
Voir article : Géothermie / Coûts / Profondeur des puits
L’hydrogéologue Philippe Pasquier, de la firme Golder, fait se type de forage d’essai évaluant la réponse thermique du sol sur une durée de cinq jours. Il confirme que les facteurs de sécurité des logiciels augmentent souvent inutilement la longueur des puits de 20 à 30% sans apporter de bénéfice.
Cette information est importante pour les projets de grande envergure mais pour les petits projets commerciaux ou résidentiels le coût des tests équivaudrait ou dépasserait le coût des forages supplémentaires. On doit donc se fier à des longueurs standard de 150 à 175 pieds par tonne pour le roc, et davantage (200 à 250 pieds par tonne) pour les sols sablonneux ou argileux.
Le pourcentage de géothermie
Pour les projets commerciaux, institutionnels ou d'envergure, les ingénieurs J. Lagacé de la firme Bouthillette Parizeau, C. Tardif de la firme CIMA, L.-F. Gagnon de la firme BBA et Vasile Minea d'Hydro-Québec prônent de limiter la capacité nominale de la géothermie à 70% des charges de chauffage maximales des immeubles. Cette pratique vise d’abord à optimiser les coûts initiaux des systèmes géothermiques notamment en rédu
En construction résidentiel, l'approche est différente. C'est principalement la charge de climatisation qui détermine la puissance de l'appareil si la climatisation est requise. Avec une capacité trop faible, il y a aussi le danger de surutiliser un puits de le refroidir, baissant ainsi sa capacité de chauffage.
Voir article : Géothermie / Coûts / Profondeur des puits
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